« Bartimée, lève-toi ! Zachée, descends vite ! » Et vous deux, venez vers moi !

« Bartimée, lève-toi ! Zachée, descends vite ! » Et vous deux, venez vers moi !

Journée de retraite à partir du bibliologue

jeudi 22 avril 2021 de 9h30 à 20h

 

Dans son ministère Jésus rencontre beaucoup de différentes personnes dans des situations de vie très variées. Il les appelle là où elles sont. Pendant la retraite nous accompagnerons l’aveugle Bartimée et le collecteur d’impôts Zachée dans leurs rencontres avec Jésus et écouterons l’appel qu’il leur adresse.

Pour ce faire, nous allons utiliser le bibliologue qui est une méthode de travail pour un texte biblique en le regardant par les yeux des personnages présents dans le texte. Cette méthode nous aide à découvrir le « feu blanc », c’est-à-dire tout ce qui est là, mais pas explicitement nommé. Ainsi, nous pouvons mieux apercevoir nos propres désirs, craintes et questionnements dans les personnes bibliques. Le bibliologue peut ouvrir des perspectives nouvelles – et parfois surprenantes – sur les récits bibliques et sur notre propre vie.

La journée comprend :

* Deux temps de bibliologue en groupe avec introduction
* Temps de silence personnel
* Partage final en groupe
* Participation aux prières de la communauté, le soir à l’eucharistie
* Repas en silence

Indications pratiques :

* Début : 9h30 (arrivée dès 9h)
* Fin : après le repas de soir, environ à 20h
* Animation : s. Sonja
* Frais de pension : CHF 60.-

La question financière ne doit être un obstacle pour personne. Qui peut mettre plus rend possible – par un geste discret de solidarité – la venue de qui peut donner moins.

Inscriptions :

Communauté de Grandchamp
Accueil
CH – 2015 Areuse

ou par courriel : accueil@grandchamp.org

Homélie par le pasteur Joël Pinto pour le 3ème dimanche de carême – La Samaritaine, le 7 mars 2021

Homélie par le pasteur Joël Pinto pour le 3ème dimanche de carême – La Samaritaine, le 7 mars 2021

      Jésus affirme que l’heure vient où Dieu sera adoré « en esprit et vérité ». Il s’agit là d’une parole bien connue dans l’Eglise, mais aussi, bien au-delà. On y a vu ce que l’Evangile a de plus haut et de plus pur, en opposition à tous ces ajouts qui auraient pollué progressivement la tradition chrétienne afin de dominer les consciences et de les empêcher de chercher la vérité par eux-mêmes.

      En effet, cette parole semble répudier la médiation de toute institution, de tout rite ou de toute tradition particulariste. Beaucoup de nos contemporains, diraient, en paraphrasant ce texte : si l’adoration de Dieu a un sens, ce Dieu ne sera ni celui des juifs, ni celui des chrétiens, ni celui des musulmans, ni celui des hindous… Cela ne peut être que l’adoration d’un Dieu que l’homme ne peut pas enfermer dans des dogmes ni s’imaginer rejoindre par des rites ou à travers le carcan d’une église ! Ceci me semble difficile d’être contesté, à une époque aussi mondialisée que la nôtre. Il est, en effet, très difficile de contester le fait que des croyants de toute obéissance cherchent Dieu sincèrement et qu’aucune institution ne peut prétendre au monopole du culte.

      Personnellement, j’ai bien souvent lu ou entendu dire, ici et là, que les églises auraient confisqué le Christ et qu’elles imposent des dogmes purement humains. Pour bien des gens, c’est même une évidence : Jésus n’a jamais fondé une Eglise institutionnelle, avec un clergé, des dogmes et des rituels, etc…Son message serait l’annonce d’un rapport purement spirituel et intimiste, avec Dieu, tout en combattant toute forme d’hypocrisie religieuse. J’ai cependant la ferme conviction que cette parole biblique ne nous oriente nullement dans cette direction, même si elle a du sens et est tout à fait respectable. A preuve, l’ensemble du texte et le contexte biblique lui-même.

      L’affirmation que le véritable culte serait une pratique religieuse débarrassée de rites et de dogmes, n’est pas du tout dans le texte : Jésus s’affiche lui-même comme un juif un religieux ; nous savons qu’ils se rendait régulièrement au Temple ; il fréquentait aussi les synagogues et il priait régulièrement avec ses disciples.

      L’opposition entre la pratique religieuse et la spiritualité n’est, d’ailleurs, pas du tout biblique car, dans le langage de la Bible, y compris chez les prophètes qui critiquaient la pratique religieuse d’Israël, l’esprit ne s’oppose jamais à la chair comme le spirituel ne s’oppose jamais au matériel. Quand il y a opposition, il s’agit plutôt d’une opposition entre la sagesse de Dieu et celle des hommes, entre la manière dont Dieu voit la vie et la relation entre les hommes, et les conceptions humaines marquées par l’égoïsme et la volonté de domination. C’est ce que Osée fait dire à Dieu : « Je suis Dieu et non pas homme » ou encore, à la manière d’Esaie, « mes voies sont au-dessus de vos voies et mes pensées au-dessus de vos pensées » (Es 55) !

      Il serait, d’ailleurs, parfaitement contradictoire, que le Christ soit présenté comme la parole faite chair et qu’il oppose ici à ce qui est corporel, aux gestes, aux rites… Ensuite, d’après le texte, Jésus croit que sa religion est vraie « vous (les samaritains) vous adorez ce que vous ne connaissez pas et nous (les juifs) adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des juifs ». Comme on peut le constater, Jésus ne vient pas opposer une religion désincarnée au particularisme juif, car il est lui-même un juif pratiquant. C’est donc à l’intérieur des rites, des dogmes et des identités religieuses, que Jésus invite à adorer Dieu en esprit et vérité, car il est malheureusement possible d’adorer Dieu selon les normes des hommes (en dehors de l’Esprit) et de manière mensongère (sans authenticité). Voilà pourquoi, au lieu de s’enliser dans le débat auquel l’invite la samaritaine (v.20, vous, les juifs, vous dites que l’endroit où il faut adorer Dieu est à Jérusalem…), Jésus lui propose simplement de jouer le jeu de la vérité : moi, juif, je crois que vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; moi, juif, je pense que le salut vient de ma tradition… mais l’heure vient où il s’agit plutôt de se laisser conduire par Dieu et d’être vrai avec Lui !

      Autrement dit, c’est comme si nous disions dans nos débats œcuméniques et interreligieux : moi catholique/protestant, moi chrétien, je crois que ma famille confessionnelle m’a transmis fidèlement le trésor de la foi. Néanmoins, l’enjeu actuel est celui d’une fidélité confessionnelle confrontée à “l’esprit et à la vérité “, c’est-à-dire, à Dieu lui-même. Les dogmes, les rites, les institutions sont nécessaires, mais elles ne sauraient jamais remplacer la rencontre avec Dieu, tant collective qu’individuelle. En effet, ce qu’il y a de plus dangereux dans une vie religieuse c’est notre tendance naturelle à mettre Dieu dans notre poche, à nous fabriquer un dieu à usage domestique, reflet des pouvoirs et des idées établies. Le culte “en esprit et vérité” est, de ce fait, lié à une spiritualité critique. Ce n’est pas un culte/une religion au-dessus des rites et des dogmes mais l’accueil d’une parole qui nous questionne de l’intérieur, au cœur même de nos pratiques et de nos croyances.

      Une spiritualité critique… voilà ce qui devrait plaire à bien des intellectuels éduqués à la rationalité de l’esprit moderne ! Mais attention, l’instance critique n’est pas ici notre rationalité mais Dieu lui-même. En effet, une nouvelle dérive peut se produire : ayant répudié l’hypocrisie religieuse ou la fausse religiosité nous pouvons aboutir à l’illusion d’une religion « rationnellement pure », nettoyée par la raison critique, sans ambiguïtés et sans croyances…

      Or, ce n’est pas celle-là l’adoration enseignée par Jésus. N’oublions pas que la personne qui a reçu cet enseignement, en notre nom à tous, était une femme dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’était pas candidate à l’exemplarité morale ni au rationalisme éclairé. L’heure d’une adoration en esprit et en vérité est venue pour elle non parce qu’elle a adhéré à une doctrine meilleure, mais parce qu’elle a pris le temps de rencontrer l’envoyé de Dieu, de s’entretenir avec lui et de voir la vérité de sa vie.

      Ceci résonne très fort, pour nous, à une époque où la parole est pervertie, déformée et mensongère, où les rencontres de l’autre sont souvent instrumentalisées, manipulées et enfermées. Le Christ, Parole de Dieu qui nous rencontre ici et maintenant, nous invite à regarder au loin, par-dessus les barrières ethniques et confessionnelles, vers ce monde nouveau où nous serons conduits par l’Esprit et connaitrons, enfin, la vérité. Car il s’agit bien de cela : au sein du monde, sur cette terre bien matérielle, ici et maintenant, est proclamée une Parole qui ouvre à une relation de confiance, authentique, constructive, en vérité, avec Dieu !

      Il me semble que nous sommes là au cœur-même de l’Evangile. Si ce texte biblique nous interpelle ce n’est pas parce qu’il nous demande de nous élever au-dessus des pratiques religieuses jugées trop simplistes, mais parce qu’il nous pose cette question toute simple : quelle place est-ce que tu fais, là où tu te trouves, c.-à-d., dans ton contexte social, culturel et religieux, oui, quelle place est-ce que tu fais à l’Esprit et à la Vérité incarnés par le Christ ?

      Si nous arrivions à répondre à cette question bien des préjugés œcuméniques et même interreligieux tomberaient. Nous n’avons pas besoin d’une nouvelle religion ni, au contraire, de nous élever au-dessus du religieux. Nous avons surtout besoin d’évaluer notre spiritualité selon les critères de Dieu, selon l’Esprit et la vérité de Dieu, incarnés dans la personne de Jésus de Nazareth.

 

Homélie par le pasteur Zachée Betche, le 4 mars 2021

Homélie par le pasteur Zachée Betche, le 4 mars 2021

Héb 3, 7-9+12-15 et Mt 21, 1-11. 

Chers amis,
La géolocalisation est de nos jours l’une des prouesses les plus prometteuses de la technologie. Très peu de contemporains se passeraient du GPS. Grâce à cet appareil, aujourd’hui, il est un peu rare de louper sa sortie d’autoroute, sa destination. L’ordre de Jésus à ses disciples est précis. Il en envoie deux à un endroit situé dans un village près de Bethphagé. Et ce qu’il ordonna s’accomplit. Bien sûr, les disciples ne sont pas des machines et ne s’en servent pas, mais ils ne sauraient se perdre car guidés par la force de l’Esprit. Là, ils retrouveront une ânesse et un ânon qui les attend.

Dans le récit de l’Evangile, les deux disciples ne semblent pas se poser de question. Ils n’interrogent pas non plus leur maître. Ils auraient pu en être tentés car cela paraît quelque peu curieux : aller chercher des ânes ! Qui sont les propriétaires de ces bêtes ? Les disciples et Jésus lui-même, commanditaire de l’action, ne passeraient-ils pas pour des voleurs ? Jésus anticipe les questions et les réponses. La chute de tous ces questionnements et réponses qui n’apparaissent pas en détail dans ce fragment de l’Evangile se résume dans ces mots : « Le Seigneur en a besoin ».
Matthieu, contrairement à Luc, précise que le propriétaire consentira puisqu’il les laissera aller tout de suite, sans hésiter. Toutefois, c’est le seul passage où l’ensemble des synoptiques utilise le titre « Seigneur » au lieu de « maître ». Nous avons besoin d’aller au-delà de l’inconscient collectif. Le maître dont il question est Seigneur. Toute la différence est là. Car il en existe, des maîtres. Mais celui-ci est au-dessus de tous. Devant lui, « tout genou fléchira. » (Philippiens 2, 10)
Les disciples entendent sa voix et se mettent en chemin illico presto. Ce qu’il faudra retenir, c’est que Jésus est Seigneur de l’univers entier. Ce qu’il ordonne doit s’exécuter tant par les disciples que par les autres, le propriétaire et nous qui lisons ce passage. On parle peu du propriétaire des ânes comme si libérer ses animaux à la demande d’un inconnu paraît si évident. Il faut admettre que ce dernier a aussi entendu résonner la voix de l’Esprit en lui. Et nous ? 

Le Fils ou l’Homme de Nazareth interrompt un instant sa vie de piéton itinérant. Jésus entre à Jérusalem assis sur un ânon. Et chez Matthieu, c’est à la fois l’ânesse et l’ânon qui l’y conduisent. Comment le comprendre ? Les autres évangélistes, y compris Jean, n’évoquent pas la présence de l’ânesse. Il y a ici les deux à la fois, certes, mais Jésus est assis sur l’ânon.
Précisons d’abord que l’âne, d’une manière plutôt générique, est un animal particulier en Israël. Il cristallise, dans le contexte historique de ce peuple, le prestige même, « la monture des pères d’Israël ». C’est le « véhicule » des rois. Le plus important pour tout lecteur de la Bible, d’hier et d’aujourd’hui, se trouve dans la cohérence de l’annonce prophétique. Le cheval, si nous nous permettons cette comparaison, n’appartient pas à l’historiographie des royautés d’Israël. Au contraire, il a été introduit plus tard par l’envahisseur romain et porterait d’autres significations pour le peuple de Jésus.
A travers le choix de l’âne, Jésus réunit à lui seul l’humilité et la gloire. A travers l’ânesse et l’ânon à la fois, le Seigneur reste dans la continuité sans détacher l’un de l’autre. Il ne laisse pas l’ânesse à sa place mais la prend aussi avec lui. Jésus est venu accomplir ce qui a commencé depuis longtemps dans le plan de Dieu : Moïse et les prophètes réunis. En montant sur l’ânon, il ouvre vers l’avenir et nous entraîne avec lui dans la puissance de son amour.
La scène paraît surréaliste. En réalité, seul l’évangéliste Jean en avait annoncé la préparation. Le récit de l’Evangile s’achève avec une confession de foi : «Jésus, le prophète, qui est de Nazareth de Galilée». Comment est-ce possible que des Judéens et de Jérusalémites, de surcroît, accueillent avec tant de ferveur un Galiléen si ce n’est encore une fois l’œuvre de l’Esprit ?

Jésus montre ainsi le chemin. Un chemin neuf. Les vêtements tombent, les branches aussi, une haie d’honneur se forme. Les branches de palmiers (l’Evangile de Jean est plus précis) en disent long sur la grandeur de l’événement. Seuls les rois sont reçus de la sorte. Ici, on ne peut que voir gloire et simplicité. Là où il y a l’Esprit de Dieu il n’y a aucune arrogance mais une joie propre, lucide et libératrice. Ces vêtements, c’est ce qui nous pèse. Ce sont nos soucis, nos angoisses, nos péchés que nous déposons pour nous sentir désormais libérés.

 Les prophéties s’accomplissent à la chaîne. Glorifié, accueilli royalement par la foule, il allait droit contre la mort, la mort de la croix. Mais ce dernier aspect, personne ne l’entrevoit sinon les chefs religieux qui attendent Jésus de pied ferme pour l’arrêter et lui faire subir l’opprobre. La foule, elle, ne l’imagine pas à cet instant. Elle ne s’imagine même pas qu’elle serait complice de cette mort atroce. Cet enthousiasme qui les anime manque cruellement de solidité. La joie de cet « aujourd’hui » sera vendangée plus tard.

Le passage de l’Evangile de Matthieu et l’épître aux Hébreux nous interpellent sur la notion de l’aujourd’hui. C’est le temps favorable, le jour J, le jour du salut. Il faut voir dans cet aujourd’hui une ouverture possible sur le lendemain plutôt qu’un temps fugace de l’existence. C’est dès maintenant que s’ouvre en nos cœurs ce chemin neuf qui laisse passer le Seigneur et sa souveraineté. C’est là que cette joie voudrait se manifester. Une joie digne des enfants de Dieu rendus capables de voir la croix qui se dresse en face. Cette croix fait désormais partie de notre gloire. Et c’est jusque-là que le Seigneur nous conduits puisque nous sommes « participants du Christ » comme le souligne l’auteur de l’épîtres aux Hébreux (3,14). L’aujourd’hui devient alors le commencement de l’éternité. La gloire du crucifié est dans la traversée de la croix à venir. En Christ, nous traversons aussi les réalités de l’histoire. Dans toutes ces péripéties, la force de l’Esprit nous guidera. N’ayons pas peur. Dieu est fidèle et ne nous abandonnera pas.

« Vivre la Pâque de Jésus dans la compagnie des saints témoins »

« Vivre la Pâque de Jésus dans la compagnie des saints témoins »

Retraite de Pâques

du 31 mars au 5 avril 2021

Pasteur Jean-Philippe Calame

Avec la semaine sainte et Pâques nous sommes au cœur de la foi chrétienne. Nous allons suivre Jésus le Christ pas à pas – dans sa passion, sa mort et jusque dans sa résurrection. La liturgie montre le chemin. Les méditations que donnera le pasteur Calame aideront à approfondir le cheminement.

Vu la situation sanitaire il est possible de vivre la retraite sur place – pour un nombre limité de personnes vivant en Suisse uniquement – ou de la suivre par internet.

Eléments de la retraite :

  • Participation aux prières et aux grandes célébrations liturgiques de la communauté (sur place ou par internet)
  • Messages donnés par le pasteur (sur place ou par internet)
  • Participation aux repas en silence (sur place)
  • Chacun-e est invité à faire un chemin personnel – il n’y aura pas de partage dans le groupe

Début :          Mercredi, 31 mars avec la prière du soir à 18h30, arrivée entre 16h et 17h30

Fin :               Lundi, 5 avril 2021 avec l’eucharistie de 11h30 ; vers 14h pour les personnes sur place

Accompagnement :  Jean-Philippe Calame et une sœur de la communauté

Frais de pension :   CHF 300.- à 400.-

et une libre participation aux frais d’animation.

Pour les personnes qui paticipent par internet :  une libre participation aux frais est souhaitée.

(La question financière ne doit retenir personne, ceux qui donnent plus permettent à ceux qui ne le peuvent, de participer à la retraite)

 

Inscriptions par écrit à : Veuillez préciser si vous souhaitez participer par internet ou en logeant sur place

Communauté de Grandchamp
Grandchamp 4 – Accueil    
CH – 2015 Areuse  

-> de préférence par mail :     accueil@grandchamp.org

Le jardin de la relation

Le jardin de la relation

Journée de retraite pour couples

Samedi 29 mai 2021

LA RETRAITE SERA L’OCCASION :

  • de méditer ensemble un texte biblique   
  • d’expérimenter diverses formes d’écoute et leur impact sur la relation à l’intérieur du couple
  • de prier seul, en couple et en groupe
  • de participer aux offices et repas avec la communauté

INFORMATIONS PRATIQUES :
arrivée : entre 8h30 et 9h00
fin de la retraite : 18h30

possibilité de rester pour l’office du soir et le repas qui suit

ANIMATION :

Marc Balz, pasteur
Anne Howald Balz, psychothérapeute
Sœur Marie-Elisabeth

PRIX DE LA JOURNEE :
CHF 100.- par couple

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTION :
Accueil
Communauté de Grandchamp
2015 Areuse
032 842 24 92

accueil@grandchamp.org

Merci de préciser si vous resterez pour le repas du soir.

Bergner von Horheim, Codex Manesse (début XIVe siècle)

Bergner von Horheim, Codex Manesse (début XIVe siècle)